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On aide Mme QI à sortir l’obsession de « la perfection » en recourant à la thérapie narrative

2017-03-31 Source:Kaiwind Auteur:${content.getAttrByFlatName('zuozhe').value}

 

La thérapie narrative constitue un moyen de la psychothérapie post-moderne. Elle suscite des intérêts partagés. Cette approche s’est débarrassée de la conception traditionnelle. Au lieu de prendre l’homme comme sujet du problème, elle rend l’homme plus autonome et plus énergique par le biais de ? la narration des expériences ?, ? l’extériorisation du problème ? et ? les traitements des petits aux grands ?. A travers l’approche narrative, on peut non seulement améliorer l’état de psyché du client, mais aussi le thérapeute peut réfléchir à son r?le et l’ajuster dans le traitement prochain. Cette approche est une technique psychothérapie moderne amplement appliquée à présent. Gr?ce à sa rapidité et à son efficacité, elle a une grande valeur pour se généraliser.

La thérapie narrative est un moyen que le thérapeute utilise d’une fa?on appropriée pour aider son client à rappeler les épisodes cachés dans sa mémoire, de sorte qu’il recrée sa propre force. Cette approche résout les problèmes complexes des sentiments humains en recourant aux caractères des interprétations propres aux actes humains : soit comment l’être humain construit et accepte les histoires. Michael White, un psychologue clinique australien, et David Epston, nouvelle-zélandais, ils sont inventeurs et précurseurs de la thérapie narrative. La narration comme méthode occupe désormais une place irrempla?able dans les études psychologiques. Dans un premier temps, la narration constitue un moyen important pour savoir les informations sous-jacentes cachées dans la conscience. On peut avoir une règle générale ou un résultat particulier par le biais d’une analyse profonde d’un cas précis en recourant aux informations narratives qui s’établissent comme supplément des informations. Dans un deuxième temps, la narration sert de moyen d’intervention dans les recherches. La narration lie toujours avec la réflexion. Quand on raconte les histoires de notre vie, on réfléchit aussi à nous-même. Cette réflexion et cet auto-examen constitue une intervention endogène. Cela nous permet d’avoir l’autodiscipline et la responsabilité pour la vie. La narration narrative sépare l’homme des événements. Ainsi, on traite un homme sous le regard humaniste au lieu de lui donner des le?ons morales. En exer?ant l’approche narrative, on croit que le client est l’expert de lui-même. Le thérapeute est seulement son compagnon. Le client doit avoir confiance. Il lui faut se croire en mesure de bien régler ses propres problèmes. La thérapie narrative a du bon impact sur la plupart des gens qui s’adaptent à l’approche des conseils psychologiques. De plus, la thérapie narrative est un des moyens importants pour le conseil psychologique.

Ces dernières années, au fur et à mesure que les traitements psychologiques s’effectuent graduellement pour les victimes des cultes pervers, on applique davantage la thérapie narrative. En faisant des échanges avec le thérapeute, le client se rappelle des événements de l’adolescence et de l’enfance, voire même de la période où il était encore bébé. On y trouve ainsi des éléments positifs qui sont favorablesau changement des idées de la victime. On recourt à des analyses et des guides humanistes pour l’aider à se débarrasser des anciennes pensées. Ainsi, son état de psyché devient s’améliore et devient positif. Pendant mes traitements, j’ai connu une pratiquante du Falun Gong, Mme QI. Elle avait 47 ans. En apparence, elle n’était pas un égo?ste. Elle avait un air bien bénin. Son caractère était aussi honnête. Mais elle était vraiment fascinée par le Falun Gong. Elle avait été détenue pour une fois. A ce moment-là, elle était condamnée en prison. Il n’était pas facile de la traiter. Une fois que j’ai intervenu dans son traitement, j’ai parlé longtemps avec elle. Elle a aussi pris conscience de son égo?sme dans la pratique du Falun Gong. Cependant, elle ne voulait pas y renoncer. Elle considérait qu’elle n’était pas encore à un niveau assez suffisant. Plus tard, on a prêté de nombreux exemples pour mettre en lumière les vices du culte pervers de LI Hongzhi. Elle les a reconnus. Elle savait que la propagande de ? l’élimination des péché ? a suscité beaucoup de morts dans les pratiquants. Elle reconnaissait aussi que LI Hongzhi a effrontément menti et que le Falun Gong s’est mêlé dans la politique… Bien qu’elle tout sache, elle n’a pas voulu de le cesser. Parce qu’elle croyait que ? la perfection ? pr?née par LI Hongzhi existait véritablement. On a essayé de la persuadé de nouveau. On l’a questionné que comme LI Hongzhi pouvait tricher aux autres événements, pourquoi il ne pouvait pas te mentir dans ? la perfection ? ? En fait, au lieu de dire qu’elle croyait fermement les paroles de LI Hongzhi comme les moyens d’aboutir au paradis, on peut dire qu’elle n’a pas voulu se réveiller de son bon rêve de ? la perfection ?.

Ainsi, mon travail se trouvait dans l’impasse. Comment pouvais-je avoir une solution ? Il était impossible d’entrer dans son c?ur profond juste en illustrant les vices du culte pervers. De ce fait, j’ai adopté la thérapie narrative. On a mis un environnement harmonieux et amical pour notre conversation. J’ai d’abord parlé de sa famille, de son mari et de son fils avec Mme QI. J’ai constaté qu’elle avait une famille heureuse. Son mari l’aimait bien et son fils se montrait bon pour elle. Elle s’entendait bien avec ses beaux-parents. Ainsi, je pensais que sa famille de naissance et ses traumatises de l’enfance et de l’adolescence faisaient l’origine des problèmes. Quand on parlait de sa famille de naissance, de son enfance et de son adolescence, on a su qu’elle avait perdu son père à l’?ge de 3 ans. Puis, sa mère s’était remariée avec son beau-père qui avait déjà des enfants. Heureusement, son beau-père était un bon homme. Ils s’entendaient bien. Mais, malheureusement, son beau-père était mort de maladie quelques années plus tard. Ainsi, sa mère était devenue de nouveau une veuve. Dans la tristesse, elle avait quitté cette famille avec sa fille. Pour gagner du pain, sa mère faisait de la couture. Enfin, elle était grandie, sa mère lui avait trouvé un bon mari. Ainsi, sa mère s’était soulagée. Quand elle avait l’enfant, sa mère était responsable de s’en occuper. Sa mère était vraiment contente de voir l’harmonie de la famille de sa fille et la bonne santé de l’enfant. Cependant, elle pensait que sa mère menait toujours une vie très pénible. Pour elle, elle avait volonté de tout faire pour montre sa pitié familiale.

Quand son enfant avait 3 ans, un jour, sa mère parlait avec les voisins dans la cour. Inconsciemment, sa mère avait dit qu’elle voulait acheter un appartement pour sa fille, mais elle n’avait pas encore de l’argent suffisant. Ses paroles inconscientes avaient suscité la convoitise d’un des voisins qui était en élargissement sous caution pour traitement médical. Quand Mme QI était au travail de nuit et que son mari était sorti, il était venu chez elle pour voler de l’argent de sa mère. Mais sa mère s’était révoltée devant sa volée. Elle avait l’intention de crier. A ce moment-là, saisi d'effroi, ce voleur avait battu sa mère à un b?ton gros. Sa mère était ainsi morte. Quant à elle, elle était en train de travailler. Quand ses voisins l’avait appelée et l’avait informée la mort de sa mère, elle avait un cerveau vide et elle n’arrivait pas à pleurer. Elle s’était évanouie…

Dès lors, la mort soudaine de sa mère obsédait dans son c?ur. Elle était vraiment triste qu’elle ne pouvait plus montrer sa pitié filiale pour sa mère. Son rêve s’était désenchanté. Mais, elle pensait toujours à la vie difficile de sa mère. Cette obsession était tout à fait opini?tre, elle ne pouvait pas y résister. Comment pouvait-elle réaliser son rêve ? Elle le pensait de nuit en jour. Elle ne pouvait pas se tirer de ce problème.

A ce moment-là, certaine lui avait propagé que le Falun Gong permettait aux pratiquants d’aboutir à ? la perfection ? et d’accéder au paradis. Puis, on pouvait trouver nos parents morts dans ce monde pour qu’ils puissent y vivre… Saisie de cette idée, elle pensait : si c’est comme ?a, je peux ainsi réaliser mon rêve, je peux montrer ma pitié familiale. Désormais, la pratique du Gong devenait le meilleur moyen de réaliser son rêve pour elle. Ainsi, elle s’était livrée aux apprentissages du Falun Gong. Elle ignorait complètement ce qui s’était passé au sein de l’organisation du Falun Gong et les conseils des autres. Elle ne voulait que ? la perfection ? qui semblait son dernier recours pour sa vie.

On a ainsi trouvé l’origine du problème. Maintenant, on va trouver les éléments positifs pour recomposer son histoire. On apprécie tout d’abord sa pitié familiale pour sa mère. ? La piété filiale est la première vertu dans les m?urs (chinoises) ?. Cela mérite la recommandation. Mais, son moyen pour montre la pitié familiale est incorrecte. Il est impossible de le réaliser en recourant au Falun Gong, parce que la soi-disant ? perfection ? pr?née par LI Hongzhi est justement un mensonge. De plus, si sa mère a l’?me au ciel et qu’elle sait que sa fille est condamnée en prison pour sa mère, comment peut-elle se sentir ? Si l’on a un fils qui est condamné en prise à cause de la désobéissance de la loi afin de montrer sa pitié familiale, qu’est-ce que l’on peut sentir ? Souhaite-t-on avoir un fils comme tel ? Dans Di Zi Gui (les standards pour être un bon élève et un bon descendant), on dit : ? Quand on n’a pas de bonne santé, nos parents s’en préocuupe ; quand on n’a pas de bonne morale, nos parents sentent honte ?. Elle a répondu qu’elle ne veut pas un fils comme tel. Ainsi, on continue à dire que sa mère ne veut pas non plus que sa fille devienne comme telle. Par ailleurs, on dit qu’elle a aussi d’autres parents qui sont encore vivants. On dit qu’elle a encore son mari et son fils. Il ne faut pas ignorer leurs pensées et blesser leurs sentiments. Ce n’est pas le v?u de sa mère. On l’interroge qu’en tant que mère, qu’est-ce que l’on attend de nos enfants ? N’est-ce pas une famille harmonieuse et heureuse ? On continue à dire : ? A cause de toi, ta famille est dispersée. La famille n’est plus comme une vraie famille. Si ta mère a l’?me au ciel, elle se sent aussi triste, n’est-ce pas ? ? Elle hoche la tête et dit : ? Oui. ? On dit : ? Y a-t-il une mère qui ne veut pas voir sa fille avoir une bonne famille ? Si ta mère le sait, elle va s?rement te pousser à rentrer le plus t?t possible. Puis, tu peux trouver une femme pour ton fils et vivre jusqu'à un bel ?ge avec ton mari.? Elle hoche sans cesse. Hésitant pour un moment, elle dit : ? Cet incident pèse sur mon c?ur depuis 20 ans. Je n’ose toujours pas y faire face. Je ne l’ai jamais mentionné avec les autres. Aujourd’hui, j’ai enfin tout dit. Je me sens soulagé. ? On l’interroge ensuite sur des détails, ce qui lui permet d’être plus courageuse face à cet incident. Elle dit en se rappelant que ses problèmes psychologiques cachés dans son c?ur profond sont résolus.

On l’interroge le sens de ? la perfection ?. Mme QI comprend tout d’un coup et dit : ? Je comprends enfin. La vraie perfection est de vivre et s’entendre bien avec mon mari et mon fils, quand je rentre chez moi. Du coup, la perfection est dans ce monde humain et dans la vie quotidienne. ?

(Rédacteur en charge : YI Bin)

 

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