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XIA Xianzhen : pour la plénitude parfaite, mon vieux mari se suicide en se jetant dans le vide (photo)

2011-08-19 Source:Kaiwind Auteur:${content.getAttrByFlatName('zuozhe').value}

XIA Xianzhen

Je m'appelle XIA Xianzhen, 70 ans, est habitante du village Tielusan du district Jiulongpo, Chongqing. Je suis ouvrière retraitée d'une usine de confection Xiaolongba de Shapingba. Mon mari s'appelle HUANG Depu, né en 1940, était ouvrier de la section ferroviaire de Chongqing du Bureau de chemin de fer de Chengdu. D? à la croyance profonde du Falun Gong, il s'est suicidé en se jetant dans le vide pour la plénitude parfaite.

En juin 1997, mon mari a rapporté un Zhuan Falun d'un collègue et m'a dit que ce livre était le ? Falun Dafa ? très précieux qui permettrait au pratiquant de dissiper les maux et fortifier le corps ainsi que d'?accomplir la plénitude parfaite ? et retourner au ? monde du Falun ?. Il m'a demandé de pratiquer avec lui. Ayant entendu ces mots, j'ai feuilleté un peu le livre mais comme je n'ai rien compris, je l'ai rentré à mon mari.

Néanmoins, mon mari s'est beaucoup intéressé au Falun Gong. Chaque jour quand il a fini son travail, il lisait de tout c?ur le Zhuan Falun et faisait la méditation à la fa?on des bouddhistes, il y avait de temps en temps où il a veillé trop tard. Comme l'éducation de mon mari n'était pas élevée, il y avait beaucoup d'endroits qu'il ne pouvait pas comprendre, et pour autant il a souvent consulté ses amis de pratique et échangé les acquis. Progressivement, il paraissait percevoir quelque chose et m'a souvent dit : ? les pratiquants doivent mettre à l'écart la réputation, l'argent et l'amour ?, ? un membre pratique le Falun Gong, toute la famille en tire profit ?, etc. Il a non seulement acheté des vidéos et portraits du ma?tre, mais aussi lu et récité les soutras mot à mot, je n'ai jamais vu son ardeur aussi grande dans le passé.

Avec la pratique, mon mari était tout comme une autre personne. Il ne s'est plus occupé de la famille, et son amabilité a disparu. Il a tourné le dos non seulement à tous les amis et voisins mais aussi aux membres de famille. Il ne faisait que se fermer dans la chambre et pratiquer le Falun Gong tous les jours, et sa tête était pleine de la plénitude parfaite.

En juillet 1999 où l'Etat a prohibé le Falun Gong, mon mari ne pouvait pas comprendre la décision du gouvernement. Afin de laisser plus de personnes savoir la ? vérité ?, il est souvent sorti pour distribuer les tracts et réclamer justice. Je lui ai conseillé à maintes reprises de cesser ces actes, mais il a insisté à fermer les oreilles et persister dans sa fa?on de faire. Il m'a averti : ? personne ne peut bloquer mon chemin vers la plénitude parfaite. ?

Le 13 février 2000, mon mari a pris sa retraite. Il avait pour autant plus de temps libre. En plus de la pratique, mon mari a clarifié la ? vérité ? et propagé la loi chaque jour. En son terme, il espérait plus de personnes savoir la ? vérité ?. Ainsi, mon mari a étudié plus dur le Dafa et assemblé les autres pratiquants chez nous pour échanger les acquis. Il m'a souvent dit : ? la pratique du Falun Gong avec les autres pratiquants raffermit mon pouvoir du gong, je me sens souvent voler vers au monde céleste.?

Progressivement, mon mari est devenu insociable et excentrique. Il était en extase tous les jours. Quand les parents ont parlé avec lui, il a souvent dit des bêtises, telles que ? ceux qui peuvent mettre à l'écart la vie et la mort sont les dieux, ceux qui ne peuvent pas sont les hommes ordinaires ?.

Le soir du 17 avril 2002, il m'a dit secrètement: ?je me sens souvent très léger de la tête aux pieds, tout comme marcher dans le brouillard et le nuage. ? Ces sentiments ? magiques ? et absurdes ont fait mon mari croire plus profondément le Falun Gong. Il croyait qu'il irait accomplir la plénitude parfaite t?t ou tard.
Au début de décembre 2003, j'ai entendu tout à coup l'appel de mon mari quand je faisais la plonge : ? je vais accomplir la plénitude parfaite, je vais accomplir la plénitude parfaite… ? Je me suis précipitée vers lui et je l'ai vu tenir debout sur le canapé avec les bras déployés en poussant des cris. Très peureuse, je l'ai entrainé à terre immédiatement.

Le midi du 8 janvier 2005, j'ai entendu un grand bruit au moment où j'allais faire la sieste. Je me suis levée immédiatement et j'ai vu mon mari coucher sur le canapé dans la salle de séjour. Le sang s'est écoulé le long de son cou, et le couteau de cuisine est tombé par terre. Tremblante de peur, j'ai téléphoné une ambulance et envoyé mon mari à l'h?pital. Après le secours d'urgence, il s'est réveillé enfin. Mais la première phrase qu'il a dit est : ? je suis dieu, je n'ai pas besoin de perfusion et injection. ? Avant sortir de l'h?pital, le médecin m'a appelé à c?té : ? Madame, vous devez faire attention, l'état d'esprit de votre mari a déjà des problèmes. Ne le stimulez pas. ? Puis, j'ai caché tous les couteaux et ne me suis plus entremis dans ses affaires de pratique.

? 16 :10 de l'après-midi du 16 février 2005, rentrée au marché aux légumes, j'ai vu beaucoup de personnes entourer quelque chose devant notre b?timent. Quand je suis entrée dans le cycle, je suis restée bouche bée — mon mari se couchait par terre et il y avait du sang partout. Ma voisine madame ZHAO m'a dit : ? quand je suis descendue, j'ai vu ton mari déployer les bras et crier ‘je vais accomplir la plénitude parfaite' et s'est jeté de ton étage. ? Ainsi, mon mari qui a poursuivi de tout c?ur la plénitude parfaite s'est jeté du septième étage et est mort sur le coup, à l'?ge de 65 ans.

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