Je m'appelle TENG Xianru, féminin, née en mai 1958. J'ai terminé mes études après dipl?mer d'un lycée. J'étais caissière d'une imprimerie de la ville Songyuan de la province du Jilin. J'habite dans la rue de Nanjin du district Ningjiang de la ville Songyuan.
J'étais une pratiquante obsédée du Falun Gong. D? à la croyance ferme du ? corps de la loi ? de LI Hongzhi, je me suis jetée du quatrième étage et sévèrement blessée. Jusqu'à maintenant, je ne peux pas encore bouger le bras droite, ni étendre la main droite ; les deux jambes sont raides, les genoux difformés et j'ai besoin d'une canne pour monter les escaliers.
J'ai commencé la pratique du Falun Gong au printemps 1996. En ce moment-là, je venais de divorcer avec mon mari, ma fille est allée à l'école maternelle. J'étais obligée de travailler et m'occuper de l'enfant, donc j'étais dans un état piteux tous les jours. L'humeur sombre m'a fait respirer avec difficulté et me sentir étouffante dans la poitrine. Je souffrais de l'angine pectorale.
Juste en ce moment-là, une de mes voisins Madame WANG m'a visitée. Elle m'a dit que le malheur du travail et du mariage étaient prédestinés et que si je voulais changer le malheur, la meilleure fa?on serait de pratiquer le Falun Gong. D'après lui, les pratiquants du Falun Gong ne pourront pas tomber malade, la maladie est l'?élimination du karma ?, qui pourra se guérir sans les médicaments et traitements médicaux ; ? si un membre pratique le Falun Gong, toute la famille va en tirer profits ?. Ses mots ont vraiment touché mon c?ur, donc j'ai acheté le même jour un Zhuan Falun chez Madame WANG.
Apres une période de pratique, je me senti énergique et la poitrine n'avait pas mal aussi. J'étais persuadée que c'était le pouvoir de la grande loi, donc je me suis abandonnée au Falun Gong de tout c?ur. Ma fille est devenue embarrassante, donc je l'ai laissée à mes parents ; le travail est un fardeau, donc j'ai demandé un congé de maladie avec un faux billet de santé.
Pendant cette période-là,, je me levais à quatre heures tous les matins et me prosternais trois fois devant le ? portrait de la loi ? de LI Hongzhi. Puis je pratiquais, voir le vidéo et écouter l'enregistrement. Pendant les nuits, je lisais dur les ? livres bibliques? jusqu'à une heure du matin, parfois j'ai dépensé 17~18 heures par jour pour le Falun Gong et dormais très peu. Pour approfondir le mémoire et exprimer ma sincérité et respect envers le ma?tre, j'ai usé beaucoup de temps pour copier le Zhuan Falun. J'ai limité tous les paroles et conduites avec les doctrines du Falun Gong en temps ordinaire, de peur d'accumuler le ? karma ? et de tarder l'avancement de mon niveau.
Malgré que je fasse comme ainsi, j'avais encore peur que je ne puisse pas élever le niveau, obtenir le bon fruit, ou devenir le ? bouddha ? ou ? divin ? à cause de mon progrès tard, mauvaise compréhension et le c?ur de persistance. J'étais persuadée qu'il y aurait la maison d'or et bon copain dans la ? loi ?, en rêvant que je pourrais accomplir la plénitude parfaite et ? voler au paradis ? le plus vite possible.
D? à mon attitude sérieuse et positive et à ma précision de gestes, surtout à ma récitation facile du Zhuan Falun, j'ai été choisie pour assumer le directeur du ? groupe de l'étude de la loi ? du poste.
Désormais, j'ai déployé tous mes efforts à la pratique et l'étude de la loi. Le travail, l'enfant, les parents et le savoir-vivre ont laissé le passage à la pratique. Comme pratiquante positive du Falun Gong, j'ai échangé pour cette raison plusieurs fois les acquis dans les conférences de prédication de la loi du district et de la ville. Baignant dans le regard envieux et la flatterie des pratiquants, je me sentais de plus en plus avancée dans la route vers le ? niveau élevé ? et proche de la plénitude parfaite.
? la nouvelle que l'Etat a prohibé le Falun Gong, je croyais qu'en tant que pratiquante élevée, j'avais l'obligation de ? protéger la loi ? et propager la loi. Sous l'ordre du poste d'instruction du Falun Gong de la ville Songyuan, j'ai participé à l'attaque conjointe de la préfecture provinciale le 21 et 22 juillet 1999. Renvoyée à la maison, les directeurs de l'usine et du quartier m'ont conseillé de cesser la pratique, mais j'ai fermé les oreilles. Quand le directeur de l'usine voulait dissoudre le louage de services avec moi, je rirais à son nez. ? mon avis, j'étais en train de passer les barrières, si j'avais peur et reculais, ? l'attente de mille ans serait détruite en un jour ?. J'ai dit pour autant dans le vrai et avoir pleine confiance en moi-même : ? je vais au paradis étincelant, à quoi sert un pauvre travail ? ? j'ai jeté la lettre de démission sur le bureau du directeur de l'usine.
Ainsi, j'ai perdu le travail, et perdu pour autant un obstacle dans la route de la propagation de la loi. Je suis allée deux fois à Beijing bravement pour propager la loi au premier semestre de l'année 1999 et deuxième semestre de l'année 2000.
En septembre 2000, j'ai lu les ? soutras ? de LI Hongzhi tel que Aller à la plénitude parfaite, dans lequel il écrit : ? on a déjà vous considérés comme membres d'une religion hérétique, vous ne actionnez pas encore ? ?, ?au moment clé, vous ne me suivez pas quand je vous demande de rompre avec les autres, la chance ne reviendrait plus. ?, ? vous avez peur de quoi ? Il y a la loi, le ma?tre, même si la tête était perdue, le corps pourrait encore faire la méditation. ?. En décembre 2000, je suis allée encore une fois à Beijing.
Comme je suis allée à Beijing trois fois et n'ai pas été trouvée par l'autorité, les amis de pratiquants m'ont flattée : je pratiquais bien, mon niveau était élevé, le corps de la loi du ma?tre me protégeait en tout moment et j'étais tout près de la plénitude parfaite. Je suis devenue de plus en plus fière avec leurs compliments et ai souvent vanté hardiment les expériences de la propagation de la loi devant les autres pratiquants. J'ai publié plusieurs articles au nom d'emprunt pour parler du pouvoir magique du corps de la loi omniprésent du ma?tre. Bien que toutes les personnes cultivées puissent trouver mes expériences dans les articles totalement fabriquées, le site Minghui a publiés tous mes articles.
La nouvelle que le ma?tre a mis un corps de la loi sur moi et que j'ai publié des articles sur le site Minghui s'est répandue de tous c?tés. J'étais pour autant considérée comme la pratiquante la plus élevée à cent lieues à la ronde. Pas mal des pratiquants m'ont prise pour l'assistant près de LI Hongzhi. Donc ils se sont assemblés des quatre coins vers moi.
Il y avait de plus en plus de personnes m'ont visitée pour échanger les acquis. Au début, je les ai arrangé chez moi, plus tard, j'étais obligée de les arranger chez d'autres pratiquants ou de louer carrément un appartement près de chez moi. Nous avons organisé des réunions régulièrement, dans l'espoir d'accomplir la plénitude parfaite le plus vite possible.
En plus du temps dépensé pour manger et dormir, nous nous somme entendus tous les jours pour pratiquer le gong et étudier la loi, mais il n'y avait aucun signe de la plénitude parfaite. Après un semestre, quelqu'un ne pouvait pas insister cette situation et a appelé à prendre des mesures.
Justement en ce moment-là, LI Hongzhi a publié les Nouveaux Soutras pour nous demander de ? clarifier la vérité ?. Ainsi, tout le monde s'est animé et s'est cotisé pour acheter un ordinateur, une imprimante, un copieur et une machine d'impression intégrée, etc. On a commencé à fabriquer à gros tirage, distribuer et afficher les matériels de propagation du Falun Gong. On a rédigé le Site Minghui de Songyuan. Pendant une période, on pouvait trouver les matériels du Falun Gong dans toute la ville, y compris les districts extérieurs.
J'ai rendu compte de tous nos grands exploits au site Minghui, et celui-ci n'a pas ménagé ses compliments aussi. Il nous a bien loués chaque fois et dit que le ma?tre était en train de nous voir et que si nous pouvions insister, nous pourrions certainement accomplir la plénitude parfaite.
Par conséquent, on travaillait plus dur.
Pour éviter de la police, nous avons souvent changé le lieu d'imprimerie. Si un lieu avait été saisi, nous changerions un autre immédiatement.
Bien que plusieurs de lieu d'imprimerie soient scellés et beaucoup de distributeurs des matériels aient changé, j'étais toujours là. Les autres pratiquants m'ont envié mon niveau élevé.
Avec les compliments des autres pratiquants, je me sentais obtenir le pouvoir du ma?tre. Je croyais que le ma?tre avait certainement installé un corps de la loi sur moi. Sinon, comment expliquer le fait que la police ne peut pas m'arrêter depuis toujours?
Pendant cette période-là, j'ai souvent rêvé du ma?tre. Dans le rêve, le ma?tre et moi échangeons des opinions sur le meilleur lieu pour installer le corps de la loi.
Pour prouver que j'étais protégée par le corps de la loi, je n'ai plus esquivé la police au moment où nous faisions la propagation. Je suis entrée et sortie courageusement des lieux d'imprimerie. Quelques mois plus tard, je n'ai pas encore aper?ue par la police.
La confiance du corps de la loi du ma?tre m'a rendue de plus en plus audacieuse.
L'après-midi du 21 avril 2008, moi qui n'étais pas rentrée chez moi depuis quelques mois ai rassemblé des pratiquants à la maison pour planifier ce qu'on ferrait au cours du passage de la flamme des jeux olympiques à Songyuan.
Voyant mon attitude calme envers la propagation de la loi, les pratiquants ont admiré plus profondément mon audace et mon corps de la loi. Des pratiquantes ont touché mon ventre et demandé où installait le corps de la loi. Je leur ai vanté que c'était peut-être au-dessous du ventre, parce que je me sentais gonflé et chaud au ventre.
? Tu as certainement le corps immortel ?, ? tu as déjà le pouvoir omnipotent ?, ? tu es le vrai adepte du ma?tre ?, ? tu es déjà fusionnée en un tout avec le ma?tre ?, ? tu va devenir une femme de vespertilion, tu seras saine et sauve si tu te jettes de l'étage ?… Tout le monde m'a encadrée et félicitée.
Les autres pratiquants ont fait chorus : ? Oui, oui, tu dois nous représenter, sauter d'ici, tu es certainement sauve. ?
Sauter ou non? Franchement, moi d'alors n'ai pas beaucoup hésité. Dans les regards attentifs de tout le monde, je me suis jetée du quatrième étage…
Trois jours plus tard, quand j'ai retrouvé la connaissance, tout mon corps était enroulé par le bandage. Mes vieux parents et ma fille qui faisait ses études dans une autre ville étaient près de moi. Mais aucun des amis de pratiquants qui s'entendaient jour et nuit avec moi n'a montré son nez.
Pendant les 42 jours à l'h?pital, j'ai réfléchi à maintes reprises sur tous les détails de ma pratique de 12 ans.
Pour pratiquer le Falun Gong, j'ai abandonné le travail, la famille et dépensé tout l'argent au mépris de mes parents et mon enfant. J'ai absolument pu mettre à l'écart la vie et la mort, ? protéger la loi ? avec ma vie, et satisfaire toutes les demandes de LI Hongzhi. ? Ceux qui peuvent mettre à l'écart la vie et la mort deviendront les divins ?, mais je ne suis pas devenue un divin. S'il y avait vraiment eu un corps de la loi, pourquoi je suis criblée de blessures, pourquoi j'ai atteint d'une infirmité physique à vie ?
