Je m’appelle LIU Jinli, 49 ans, habitante du district Dadukou de la ville Chongqing. Mon mari et moi sont nés dans la ville Houma de la province du Shanxi. D? au transfert du poste, j’ai suivi mon mari à Chongqing. Désormais, nous menions une vie régulière.
Bien que mon mari travaille très dur, le revenu était bien satisfaisant. Donc moi qui n’avais pas de motivation de travailler ai décidé de devenir une femme de ménage. En mars 1996, comme j’étais très ennuyée, j’ai commencé à pratiquer le Falun Gong à travers une de mes voisins Madame WU. Elle m’a dit que le Falun Gong pourrait non seulement dissiper les maux et fortifier le corps, mais aussi donner les profits à toute la famille du pratiquant. Elle m’a cité beaucoup d’exemples des pratiquants qui en avaient tiré profits et dit que les pratiquants du Falun Gong iraient au paradis après atteindre la ? plénitude parfaite ?. Comme j’avais beaucoup de temps libre et argent et que je croyais profondément le Falun Gong, tous les pratiquants entourés m’ont beaucoup admirée, ils ont souvent échangé les acquis chez moi.
Dans une telle ambiance, j’étais très encouragée et me suis complètement jetée dans la pratique du Falun Gong, en négligeant le sentiment de mon mari et la responsabilité d’une femme. D’après le ma?tre, j’ai déjà abandonné la persistance de la réputation, l’argent et l’amour complètement.
En juillet 1999, l’Etat a prohibé le Falun Gong, et moi qui ai déjà pratiqué le Falun Gong depuis trois ans étais très choquée de cette nouvelle. Je ne pouvais pas comprendre le fait que le Falun Gong qui propageait le Zhen-Shan-Ren et la valeur d’être bienveillant est une secte hérétique. Pendant cette période-là, mon mari m’a conseillé à maintes reprises de cesser la pratique et de trouver un emploi si j’étais très ennuyée. Ayant entendu ces conseils, j’étais très énervée : ? tu ose dire que la pratique du Falun Gong n’est pas une affaire sérieuse ? Il y a beaucoup de grandes choses à faire. ? Comme mon mari était très occupé de son travail, il ne m’a pas surveillée à fond.
Pendant les jours suivants, je pratiquais et élever mon niveau suivant toutes les instructions du ma?tre comme toujours, dans l’espoir d’?attendre la plénitude parfaite ? et ? devenir un bouddha ?. Bien que j’entende les faits que beaucoup de pratiquants avaient abandonné la pratique, je n’étais pas vacillante du tout. J’étais fermement persuadée que la clarté serait au fond de la voie. En vouant une perspective riante, j’ai continué de marcher dans la voie de pratique avec les restes pratiquants. Cette insistance durait huit ans.
L’après-midi du 25 novembre 2007, une pratiquante qui s’appelle ZHANG Ru est venue chez moi avec quelques autres pratiquants pour me dire que LI Yuqin était sérieusement malade de la tuberculose pulmonaire et m’appeler à la sauver par émettre du gong avec eux. Quand j’ai su que LI Yuqin n’avait consulté les médecins ni pris les médicaments ou injections et qu’elle a même menacé son mari de mort pour éliminer le karma, je suis allée chez LI Yuzhen sans un mot. Mais le mari de LI Yuqin nous a empêchés dès le moment où nous étions arrivés. Il a fait ses efforts pour nous chasser en disant que la maladie de LI Yuqin était infectieuse. Voyant le LI Yuqin faible et agonisante et pensant aux mots du ma?tre : ? la pratique du Dafa n’est pas seulement pour la ‘plénitude parfaite’ individuelle… ‘Sauver le peuple’ est aussi une t?che obligatoire des adeptes du Dafa. ? Nous avons décidé fermement de sauver la pratiquante enfin.
En ce moment-là, le mari de LI Yuqin a insisté à nous empêcher et demandé d’envoyer sa femme à l’h?pital, mais LI Yuqin croyait encore le Dafa, le ma?tre et les amis de pratique. Elle a répondu non à son mari et nous a appelé à l’entourer. Ainsi, nous quatre pratiquants nous sommes assis autour de LI Yuqin pour lui émettre du gong. Une fois, deux fois, trois fois… Le temps s’est passé, le soir est arrivé, mais l’état de santé de LI Yuqin n’a pas été amélioré du tout.
Jusqu’au moment où tout le monde allait émettre du gong encore une fois, LI Yuqin a commencé de tousser sévèrement et vomir du sang. C’est une scène dont je garde toujours vivace le souvenir jusqu’à maintenant. En ce moment-là, nous étions tous ahuris et ne savions à quoi nous en tenir… Je n’ai pas aper?u que le mari de LI Yuqin avait composé 120. Bient?t, une ambulance est arrivée. Voyant les secouristes porter LI Yuqin avec une civière, nous avions peur et un sentiment de culpabilité, donc nous sommes partis silencieusement. Plus tard, LI Yuqin qui a manqué la meilleure heure de traitement est décédée à l’h?pital. Cette nouvelle funeste nous a rendu rongés de remords et laissé une trace ineffa?able dans le c?ur. Enfin, nous n’avons pas osé assister à la cérémonie funèbre de LI Yuqin.
Ayant traversé cette affaire, j’ai commencé à soup?onner le Falun Gong ainsi que le pouvoir du ma?tre, les trois autres pratiquants aussi. Les propos du ma?tre ne sont pas vérifiés ? Le corps de la loi du ma?tre n’est pas efficace ? Ou nous sommes tombés dans le piège dès le commencement ? Puis avec l’aide des bénévoles sociaux, je me suis dégagée du Dafa et possède maintenant une vie ordinaire et heureuse.