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J’ai perdu mon cher fils (photo)

2013-03-15 Source:Kaiwind Auteur:${content.getAttrByFlatName('zuozhe').value}


Chaque fois que j'assoyais devant la porte de ma maison et regardais de petits groupes d’enfants aller à l’école ou revenir chez eux, mon c?ur serait déchiré. Si mon fils était encore vivant, il aurait eu 16 ans, un ?ge de fleur comme les enfants que je vois. Mais maintenant, il ne peut que rester seul au paradis...

Je m’appelle LI Aiping, féminin, 47 ans. J’habite dans la rue Xi du bourg Chengguan du district Puyang de la province du Henan. En octobre 1996, mon cher fils est né, mais sa naissance ne m’a pas apporté bien de la joie. ? cause de mon corps faible, j’ai souffert du syndrome du post-partum peu de temps après la naissance de mon fils. J’ai essayé divers médicaments toniques mais aucun inefficace.

Au moment où je me tourmentais pour ma santé, une proche m’a visitée. Elle m’a dit que le Falun Gong pourrait non seulement fortifier le corps et dissiper les maladies sans prendre les médicaments, mais aussi protéger la famille et devenir un ? bouddha ?. Sachant que la pratique pourrait économiser les frais médicaux, j’ai commencé de pratiquer le gong avec cette proche.

Après une période des exercices réguliers, mon appétit était meilleur et ma santé s’est vite rétablie, la douleur des lombes et des membres inférieurs a disparu. J’ai pris toutes ces améliorations comme effets de pratique. Progressivement, je me suis abandonnée aux soutras hérétiques de LI Hongzhi et croyais fermement que le ma?tre était le ? bouddha ? du monde dont les corps de la loi seraient omniprésents. ? mes yeux, d’élever le niveau de pratique et d’atteindre la plénitude seraient la poursuite de ma vie.

Pour exprimer mon sincérité envers le ma?tre, j’ai utilisé un mille yuans réservés à la poudre en lait de mon fils pour acheter un costume, un coussin et un magnétophone, et le portrait, les enregistrements et les vidéos de LI Hongzhi. J’ai mis toute mon énergie dans la pratique et l’étude du gong. J’ai regardé le Falun Gong comme ma vie et eu une admiration infinie pour LI Hongzhi.

Comme je ne faisais que pratiquer le gong tous les jours, les affaires de ménage et de l’enfant ont été jetées derrière ma tête. Mon fils pleurait souvent de faim. Voyant cette situation, mon mari qui s’en inquiétait beaucoup était obligé de mettre à l’écart de ses affaires pour travailler aux champs, faire les affaires de ménage et s’occuper de notre enfant.

En juillet 1999, l’Etat a prohibé le Falun Gong légalement. La plupart des pratiquants entourés ont abandonné la pratique et retrouvé la vie ordinaire. Mon mari m’a demandé de cesser la pratique, je l’ai accepté verbalement. Il a pour autant repris ses affaires. En l’absence de mon mari, j’ai pratiqué le Falun Gong secrètement. Pensant obstinément que c’était l’heure d’exprimer ma fidélité, j’ai insisté la pratique en distribuant les tracts et participant aux activités pour clarifier la loi.

Un jour de l’octobre 2000, mon fils de trois ans a pleuré en tirant mon vêtement. Pour éviter mon enfant qui empêchait ma pratique et pratiquer secrètement chez un autre pratiquant, j’ai même fermé mon fils seul dans la chambre en lui laissant pleurer et crier. Quand je suis rentrée à la maison, mon fils dormait sur le canapé avec un visage rouge en poussant des toux, dont le front était très chaud. Pensant aux propos sur l’élimination du karma, j’ai fermement refusé d’envoyer mon fils à l’h?pital et de lui donner des médicaments antipyrétiques.

Le lendemain, mon fils a eu une fièvre à 39 degrés, sa toux et sa convulsion sont devenue plus sévères, mais je croyais encore que la pratique pourrait éliminer le karma de mon enfant et guérir sa maladie. J’ai prié une dizaine de fois devant le portrait de LI Hongzhi et une demi-heure pour chaque fois en émettant du gong à mon fils. Je me disais que cela pourrait éliminer son karma et lui faire obtenir la protection du ma?tre.

Trois jours plus tard, la maladie de mon fils n’a pas amélioré mais s’est aggravée. Croyant que mon pouvoir du gong était insuffisant et que mon c?ur n’était pas assez fidèle, j’ai demandé à plusieurs pratiquants d’émettre du gong avec moi. Mais tous les efforts étaient inutiles, mon fils a déjà perdu la connaissance. N’ayant pas pu supporter mon opini?treté, des voisins ont voulu envoyer mon enfant à l’h?pital en disant : ? L’enfant pourrait mourir si tu insistes comme ?a ?, mais je les ai empêchés violemment comme une folle.

? bout de ressources, un voisin a téléphoné mon mari qui travaillait ailleurs. Mon mari a précipité chez nous et envoyé l’enfant à l’h?pital immédiatement. Au moment où on est arrivé à l’h?pital, mon fils a déjà eu la difficulté à respirer, le rythme cardiaque rapide et un visage cyanosé. D’après l’examen, l’enfant a été atteint d’une pneumonie grave et entré dans un état critique. Malgré les secours urgents, mon fils a déjà manqué le meilleur moment de traitement. Sa maladie s’est développée en pneumonie compliquée d'une myocardite, devant laquelle même les médecins étaient impuissants. Le lendemain, mon cher fils qui n’avait pas encore joui de la joie du monde humain a quitté le monde à jamais.

La mort de mon fils m’a donné un grand coup. Devant ce fait cruel, je me suis complètement réveillée. Toutefois, mes larmes de remords ne peuvent pas rappeler la vie de mon fils.

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