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SONG Jiefang: un accident s’est passé sur le chemin de la propagation de la loi

2013-03-26 Source:Kaiwind Auteur:${content.getAttrByFlatName('zuozhe').value}
Je m’appelle SONG Jiefang, 58 ans, habitant du bourg Linmingguan du district Yongnian de la province du Hebei, la base de production des pièces standards. Ma femme et moi avons commencé de fabriquer les pièces standards en 1993. Bient?t, une maison de deux étages a été construite dans notre cour et nous avons acheté une voiture de Santana. Nous sommes devenus des entrepreneurs paysans connus loin et près.

? cause du travail dur autour de l'horloge, ma femme et moi souffrions de beaucoup de maladies et prenions de divers médicaments. En 1995, nous avons commencé de pratiquer le Falun Gong pour fortifier le corps et acheté un livre intitulé Zhuan Falun. Rapidement, nous étions attirés par les propos d’être bienveillant et d’élever le niveau du Falun Gong. Nous avons pratiqué le gong au poste d’instruction à six heures du matin et affiché le portrait de LI Hongzhi sur le mur du bureau, où nous avons copié et récité les livres, écouté l’enregistrement, regardé la vidéo et fait la méditation ensemble.

Comme nous n’avons pas prêté attention à la production des pièces depuis longtemps, la qualité et les ventes des produits ont commencé à tomber. La faiblesse du nombre et la mauvaise qualité de nos produits ont causé de plus en plus souvent les pertes économiques de nos vieux clients. Plusieurs clients m’ont conseillé de cesser la pratique et d’apprécier notre entreprise pour éviter la faillite. Lorsque j’étais irrésolu, les autres pratiquants ont dit : ? Le ma?tre est le bouddha principal de l’univers qui contr?le toutes les affaires de l’univers, bien s?r y compris les affaires humaines. Son corps de la loi nous regarde et protège. ?

Je me suis demandé : le travail dur depuis ces années est seulement pour passer mes derniers jours dans le bonheur, n’est-ce pas ? Si le ma?tre pouvait me faire avoir la vie heureuse, pourquoi dois-je travailler si dur ? Ainsi, je me suis rel?ché en jetant toutes les affaires de l’usine derrière la tête tels que la production, les ventes et la gestion.

Afin de pratiquer le gong de tout c?ur, ma femme et moi sommes revenus à la maison avec le portrait de LI Hongzhi, devant lequel nous pratiquions le gong tous les jours dans l’espoir de ? devenir un bouddha ?.

?tant donné qu’il n’y a pas eu de superviseur, acheter, réparateur et directeurs dans notre usine, l’usine était dans un état de désordre. Les ouvriers désespérés m’ont trouvé pour demander les salaires. Je leur ai dit : ? Nous sommes adeptes du Dafa, nous ne voulons pas régler les affaires humaines. Cette usine est un obstacle pour notre plénitude parfaite, c’est l’usine qui n’a pas payé vos salaires, allez les demander à l’usine. ? Ayant trouvé que nous sommes trop incroyables, les ouvriers ont vendu les produits restants et pris le revenu comme leurs salaires. Puis tout le monde s'en est allé en laissant la porte de l’usine fermée à clé.

Tous les proches et amis ont exprimé leur regret sur la fermeture de notre usine, mais nous nous sentions heureux secrètement : nous avons déjà enlevé la persistance et approché la plénitude parfaite ; nous sommes devenus les véritables pratiquants après abandonner la réputation, l’argent et l’amour. Lors des réunions des pratiquants aux villages voisins, nous avons souvent distribué le Zhuan Falun et les vidéos de la pratique en propageant les récits magiques sur les pratiquants survivants après un accident ou pratiquants guéris du cancer en une nuit.

Comme nous pratiquions le Falun Gong jour et nuit à la maison, mes parents et mon fils ne pouvaient pas se reposer bien. Mon père m’a conseillé de ne pas pratiquer le gong à la maison, mais j’ai non seulement fermé les oreilles mais aussi assemblé plus de pratiquants pour pratiquer ensemble. J’ai même fourni le repas et le logement aux pratiquants. C’est ma mère qui a déblayé les crachats, poussières, vaisselles et nettoyé les chambres, mais bient?t tout était en désordre de nouveau. ? bout de patience, mon fils s’est violemment querellé avec moi. J’ai considéré ses propos comme une calomnie envers le Dafa et même giflé mon fils. N’ayant pas d'autre choix, mes parents ont emmené mon fils chez ma s?ur.

Désormais, nous étions plus libres sans la restriction de mes parents. Afin d’approcher la plénitude parfaite, ma femme et moi avons souvent conduit notre voiture en portant les autres pratiquants pour propager le Falun Gong. ? 23 heures du soir du 7 mars 1999, j’ai conduit tous les pratiquants qui avaient propagé la loi avec moi chez eux l’un après l’autre. Un pratiquant m’a dit : ? Reste chez moi, tu es trop fatigué. ? Je lui ai répondu avec confiance : ? Ma?tre me protège. Ne t’inquiète pas. ? Mais sur le chemin du retour, j’étais endormi. Ma voiture a heurté contre un poteau télégraphique. Ma jambe gauche a été fracturée et mon cr?ne a été sévèrement blessé. J’ai repris conscience à l'h?pital jusqu’après 17 jours. Quand je me suis réveillé et ai trouvé que j’étais à l’h?pital, j’ai arraché immédiatement le tube de perfusion et refusé fermement les médicaments et injections en disant : ? Je suis adepte du Dafa, ma blessure n’est pas grave du tout. C’est l’épreuve du ma?tre. ? J’ai demandé de sortir l’h?pital en piquant ma jambe gauche avec la canule. ? bout de ressources, mes parents m’ont envoyé à la maison. Rentré à la maison, j’ai continué de refuser les médicaments et injections et mis tout mon espoir de guérison en la pratique. Malheureusement, ma jambe gauche est arrivée à un handicap. Maintenant, je suis un boiteux.
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