Photo récente de GUO Rufeng
Au début de juillet 2012, GUO Rufeng qui a 48 ans a été interviewée par le journaliste du Kaiwind. Portant un T-shirt noir, elle riait joyeusement. Elle a dit au journaliste que c’est le Falun Gong qui lui a progressivement forcé d’avoir la passion aveugle. Maintenant sortie de l’erreur, elle a encore peur rétrospective de cette expérience. Jusqu’à présent, elle a déjà quitté le Falun Gong il y a dix ans. Pendant ces années, elle a retrouvé la vie heureuse et ordinaire : Son mari s’est remarié avec elle ; sa fille l’a pardonnée ; l’ex-employeur a signé à nouveau le contrat de travail à long terme avec elle.
En 1997, GUO Rufeng avait 33 ans, ouvrière du groupe Shaogang de la province du Guangdong, où travaillait également son mari. En avril de même année, elle a commencé de pratiquer le Falun Gong dans le but d’?être bienveillant ?, et progressivement elle a été attirée par les mensonges de LI Hongzhi sur la ? plénitude parfaite ?. Elle se disait avoir trouvé un bon moyen de se cultiver et s’est donc abandonnée de tout c?ur dans la pratique du Falun Gong.
Au début 1998, GUO Rufeng de 34 ans a été nommée l’instructeur et la personne de contact d’un poste de pratique. Afin de ? faire du progrès ?, elle se levait très t?t et se couchait très tard pour pratiquer le gong et poursuivre un ? niveau plus haut ? en espérant atteindre la ? plénitude parfaite ? dont son ? ma?tre ? avait parlé. En même temps, elle n’a plus prêté attention à son mari et son enfant.
Le 22 juillet 1999, le gouvernement a interdit le Falun Gong légalement. En ce période-là, les sites du Falun Gong nous ont appelés à ? se plaindre auprès de l'autorité supérieure de Beijing? pour ? protéger la loi ? en disant que tous les pratiquants devraient le faire, ? Nous voulons tout simplement rendre compte la situation actuelle auprès du gouvernement, pourquoi pas? ? Pour montrer la position ferme et saisir la meilleure occasion de ? passer une épreuve de la plénitude parfaite ?, GUO Rufeng a décidé de ? se plaindre auprès de l’autorité supérieure de Beijing ? à la demande du poste de pratique le lendemain. Mais en raison de l’empêchement de mes proches et collègues, le plan n’a pas pu être mis en ?uvre.
En avril de même année, LI Hongzhi a lancé successivement plusieurs ? écritures ? comme Jian Zhen Xing et Xin Zi Ming, dans lesquels il prétend que ? ceux qui sont en mesure de le faire mais refusent de le faire va montrer leurs vraies couleurs ?. Ainsi, GUO Rufeng s’est totalement perdue : ? En ce moment-là, je n’avais qu’une idée, c’est de m’épuiser pour ‘protéger la loi’ ?.
Conséquemment, GUO Rufeng est allée tout seul à Beijing pour ? demander un règlement équitable ? derrière le dos de ses proches et collègues. Comme GUO Rufeng a quitté sa position sans raison et sans prendre un congé pendant une longue période et contacté partout les pratiquants du Falun Gong en négligeant tous les conseils, l’employeur a été obligé de la démissionner.
? Je n’ai pas regretté d’avoir perdu le travail, mais s’est estimée avoir franchi la barrière entre les pratiquants et les ‘hommes ordinaires’ et approcher la ‘plénitude parfaite’ ?. Pensant à l’entêtement d’autrefois, GUO Rufeng n’a pas pu retenir un soupir.
En mars 2000, GUO Rufeng et quelques ? amis de pratique ? sont allés encore une fois à Beijing pour la ? justice ?. Ses proches qui l’avait déjà cherchée depuis plusieurs jours en a été au courant et poursuivi à Beijing pour la recueillir.
Son mari lui a dit chèrement en tirant la main de celle-ci : ? Il nous est difficile de vivre ensemble et d’avoir une famille heureuse, cela n'a pas d'importance que tu ne tiens pas compte de moi, mais tu dois t’occuper de notre fille. Si un grave accident t’arrive, vous savez combien de dommages sont apportés à notre fille ? ?
Sa fille a dit en pleurant dans les bras : ? Maman, ne pratique plus le Falun Gong, maintenant tu es devenue comme ?a, si tu pars, comment puis-je faire ? ?
Mais les larmes de son mari et les cris de sa fille n’ont pas encore touché GUO Rufeng. Elle a dit au c?ur : ? Qui est ta mère ? Qui est ton enfant ? Je ne connais personne ?. ? Devant les sentiments vrais, j’étais indifférente? a dit GUO Rufeng avec un sourire amer.
? Je ne peux pas rater ma première importance pour vous, ‘Ma?tre’ LI Hongzhi m’a ordonné d’‘atteindre la plénitude parfaite’, c’est une affaire sacrée ?. Ayant laissé ces mots cruels, GUO Rufeng a divorcé avec son mari qui l’aimait toujours.
? Ayant passé la barrière de famille, GUO Rufeng est allée à Beijing le 17 avril et 14 juillet 2000 sous le charme des ‘soutras’ de LI Hongzhi pour ‘propager la loi’ et a pratiqué à maintes reprises le Falun Gong collectivement avec d’autres pratiquants.
Néanmoins, les bénévoles anti-sectes n’ont pas renoncé GUO Rufeng, au contraire, ils ont tendu les mains chaudes pour l’aider. En 2002, GUO Rufeng s’est complètement débarrassée du piège de la ? plénitude parfaite ? du Falun Gong et est rentrée dans la vie sociale ordinaire. Enfin, le sourire heureux est retourné sur son visage.