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Pour la « plénitude parfait », je me suis presque immolé par le feu

2014-10-11 Source:Kaiwind Auteur:${content.getAttrByFlatName('zuozhe').value}
  Je m’appelle FU Linkai, masculin, Han, né en décembre 1970. J’habite au village Xiaowu du district Wenfeng de la ville Anyang de la province du Henan. J’aime la lecture depuis mon enfance et je travaillais dur. En 1999, j’ai échoué à l’examen national d’entrée aux établissements supérieurs à cause d’un gros rhume. Comme ma pauvre famille ne pouvait pas me soutenir pour un deuxième examen, je ne pouvais que travailler sur un chantier de construction. Avec mes propres efforts, j'ai ma?trisé beaucoup de connaissances comme la reconnaissance graphique architecturale et le budget et suis devenu un technicien. En moins de trois ans, j'ai eu une maison en brique de cinq pièces, une belle femme et une fille charmante. La vie de famille était très heureuse. 

En ao?t 1996, mon frère a?né est mort d’un accident. N’ayant pas pu supporter le coup fort de perdre un fils, mon père est tombé malade et nous a quitté quatre mois plus tard. En moins de six mois, j’ai perdu deux proches importantes, la vie était sombre pour moi. Un jour de l’hiver après les funérailles de mon père, quelqu’un m’a visité pour propager le Falun Gong en disant ses avantages et m’a conseillé de pratiquer le gong. Ainsi, moi qui étais très affligé s’est mis au rang des pratiquants du Falun Gong. Après avoir lu le Zhuan Falun, je me sentais réveillé : les morts de mon frère et mon père ont été causées par leur karma très lourd. Désormais, j’ai commencé à pratiquer le Falun Gong. 

Au printemps 1997, je suis rentré sur le chantier avec le Zhuan Falun. Le jour, j’ai profité tout le temps libre pour se remémorer le contenu du livre déjà lu, le soir, j’ai fait la méditation jusqu’à minuit sans tenir aucun compte des travaux du lendemain. En raison de la dispersion de mes efforts, j’ai souvent commis des fautes dans le travail et le recommencement du travail malfait est devenu une chose ordinaire. Non seulement le progrès du projet était affecté mais aussi les matériaux de construction ont été gaspillés. Le chef de section en était très insatisfait. Pour la vieille amitié de l'école, il m’a conseillé à maintes reprises de cesser la pratique et de me concentrer sur le travail. Je l’ai promis mais insisté la pratique secrètement. 

En juillet 1999, le gouvernement chinois a légalement interdit le Falun Gong. Lorsque j’ai entendu cette décision, j’en étais très mécontent. J’ai abandonné mon travail et mis tout mon c?ur dans la pratique. Le jour, je pratiquais le gong à la maison pendant toute la journée ; le soir, je ? propageais le Dafa ? partout en affichant le slogan du Falun Gong. 

Sans aucune source de revenu, la vie de famille était de plus en plus difficile. Ma femme a essayé de me persuader de ne plus poursuivre les choses illusoires pour l'amour d’elle et de notre enfant. Je lui ai fait la sourde oreille et ai considéré ses conseils durs comme l’empêchement d’un démon. Devant ma persistance, ma femme désespérée m’a proposé le divorce. Moi qui ne pensais qu’à l'? état spirituel d'un immortel ? l’ai accepté tout de suite. Je lui ai dit : ? Démon, sans ton intervention, je vais réussir plus rapidement. ? Puis je n'ai pas hésité à signer les papiers du divorce. 

Ma mère qui avait plus de soixante-dix ans était très inquiète de mes changements. Elle m’a supplié en versant les larmes de cesser la pratique, de reprendre ma femme et ma fille et de travailler pour nourrir la famille. ? mes yeux, ma mère était également un démon qui empêchait ma pratique. J'ai clamé : ? Je vais tuer quiconque empêche ma pratique ?. Ma mère n’a pas osé en parler.  

Comme j’étais retiré du monde depuis longtemps et ne pensais qu’à la pratique, j’étais halluciné lors de la pratique : Je voyais le ma?tre assis sur le lotus m’appeler pour le suivre au monde céleste. Je lui ai donc crié : ? Ma?tre, je vous vois, vous êtes sur le lotus. Ma?tre, je vous vois, vous m’approchez. Je vois vos rayons propices. Ma?tre, j’ai réussi. Je peux voler. Attendez, je vais vous suivre. ? Ayant entendu mes mots, ma mère était très effrayée. Elle est tranquillement allée sous la fenêtre de ma chambre et m’a vu danser et sauter. Je me suis précipité vers le portrait de LI Hongzhi mais ai heurté le mur. Ma mère a pleuré avec une voix triste et je me suis réveillé par ses cris. Le ma?tre a disparu, le lotus a disparu. Je croyais que c’était elle qui avait dérangé mon rêve et lui ai jeté avec quelque chose. Ma mère était trop tard pour s'esquiver et sa tête a été sévèrement frappée.  

Le matin du 7 octobre 2003, après se lever, ma mère a trouvé que ma chambre était en feu. Comme j'ai vu le ma?tre dans l'illusion encore une fois et qu’il ne m’a pas emmené, j’ai allumé la couverture pour faire surgir le ? corps de la loi ? du ma?tre. Ma mère a h?té d’appeler au secours. Lorsque les voisins sont entrés dans ma chambre par la force, j’étais étouffé par la fumée. Gr?ce aux secours urgents, j’ai été sauvé, mais toutes les choses dans ma chambre ont été incendiées. 

Avec l’aide des bénévoles sociaux, je me suis dégagé du Falun Gong et retourné vers la vie ordinaire. Je suis rentré sur le chantier et travaille comme technicien. Ma femme et ma fille viennent de nouveau à moi, et j’ai retrouvé le bonheur de la famille. 

  

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