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LIN Guirong: j’ai retrouvé la vie heureuse après avoir coupé la relation avec le Falun Gong (photo)

2015-02-25 Source:Kaiwind Auteur:${content.getAttrByFlatName('zuozhe').value}

 

 Je m’appelle LIN Guirong, 56 ans, habite dans le quartier Lejiamingyuan du district Kuancheng de Changchun (Jilin). 

 

   

LIN Guirong (à gauche) 

Un jour d’avril 2000, lorsque moi qui souffre d’une arthrite sévère faisais le nettoyage dans la rue Beiwaihuan de Changchui, j’ai rencontré une ancienne voisine madame LIU. Ayant su que je travaillais comme travailleuse sanitaire, elle m’a recommandé le Falun Gong. D’après elle, ma maladie n’est pas ma faute mais causée par le karma, donc si je veux éliminer le karma, je devrai pratiquer le Falun Gong jusqu’au niveau de pouvoir fortifier le corps et de guérir la maladie sans prendre les médicaments.  

Bien que je sache que le Falun Gong est une secte hérétique, j’ai décidé de la croire et essayé de pratiquer le Falun Gong. Avant le départ, cette voisine m’a secrètement donné quelques livres et conseillé de ne plus prendre les médicaments pour économiser les frais médicaux. Ainsi, je me suis mis au rang des pratiquants du Falun Gong. Avec la ? pratique ? et ? étude de la loi ?, je croyais de plus en plus la théorie de LI Hongzhi sur la plénitude parfaite. Désormais, je me suis attachée au Zhuan Falun. Je me disais que Ma?tre pourrait certainement m’aider à devenir les bouddhas. Plus tard, j’ai même cessé de prendre les médicaments contre la douleur articulaire lorsque j’avais mal aux articulations. 

Après la pratique du Falun Gong, je ne voulais plus travailler comme travailleuse sanitaire ni faire les affaires de ménage. Comme mon mari qui travaillait dur est rentré à la maison n’a pas pu manger des plats chauds, il s’est querellé avec moi. La vie de famille était ainsi en désordre. Je ne me suis intéressée à rien d’autre que le Falun Gong, c’est pourquoi la vie allait de mal en pis. Mon mari et mes proches en étaient très inquiets.  

? la mi-ao?t 2000, il pleuvait pendant plusieurs jours et je n’ai pas pu distribuer les tracts avec mes amis de pratique, et mon mari restait aussi à la maison. En raison du temps humide, je souffrais de la grande douleur de l'arthrite et ne pouvait même pas me lever et ne pouvait que soulager ma douleur en buvant de l’eau. Ayant vu ma situation, mon mari m’a donné des analgésiques, mais je l’ai fermement refusé : ? Ma maladie est une épreuve. Si je prends les médicaments, je ne serai pas sincère et le ma?tre ne me permettra pas d’atteindre la plénitude parfaite. Laisse-moi pratiquer le gong, je vais bien. ? Puis, j’ai commencé à pratiquer le gong sur le lit. La douleur de l'arthrite et l’eau que j’avais bu m’ont fait trempé de sueur. Mon mari me regardait d’un air confus… 

Un jour de novembre de la même année, je suis rentrée des réunions d’échange à Shenyang et à Dalian et me suis lancée au lit immédiatement. De mon front ruisselant de sueur et mon visage cireux, mon mari a su ma douleur et m’a conseillé d’aller à l’h?pital ou de prendre les médicaments, mais je l’ai fermement refusé. Puis mon mari a prié le directeur du quartier pour me persuader. Voyant que je tremblais de tous mes membres, celui-ci m’a dit : ? Guirong, tu perdras les jambes si tu ne vas pas à l’h?pital. Vois ton visage douloureux ! ? De peur de l’amputation, je ne lui ai pas dit non. Selon le diagnostic du médecin, mon arthrite était grave, et si je continuais de refuser les traitements, mes jambes se déformeraient et pourraient être amputées. Il m’a demandé de rester à l’h?pital pour les traitements, mais j’ai repoussé les traitements et les médicaments. Lorsque mon mari était absent, je suis secrètement rentrée chez moi en autobus.  

Mon mari et le directeur du quartier se sont enquis des médicaments et traitements appropriés à ma maladie, puis ils ont décidé un plan de traitement et commencé à le mettre en ?uvre. Mon mari a mis des médicaments dans le thermos et mélangé de l’eau sucrée et d’autres médicaments dans l’eau que je buvais. Trois mois plus tard, ma maladie a été contr?lée et la douleur articulaire soulagée, mais moi qui n’ai pas su la vérité ai attribué le mérite à ma pratique et au Ma?tre.  

Au printemps 2001, j’ai participé à une activité du quartier. Ayant vu mon bon état, le directeur du quartier m’a dit : ? Guirong, gr?ce aux soins méticuleux de ton mari, ta maladie est sous contr?le. Tu dois le remercier. ? Je l’ai réfuté : mon mari ne sait que faire bouillir l'eau. C’est ma sincérité qui pousse le Ma?tre à éliminer ma douleur.? Le directeur du quartier m’a dit en souriant : ? Demande-le à ton mari et laisse-le te dire la vérité ! ? 

Quand j’ai interrogé mon mari pour ma maladie, il m’a raconté la vérité et invité par téléphone le directeur du quartier chez nous. Le lendemain, le directeur du quartier est venu avec un bénévole. Après avoir écouté l’explication du bénévole et regardé le vidéo du dévoilement de LI Hongzhi et son Falun Gong, je me suis réveillée et ai décidé de croire la science et l’h?pital et d’accepter les traitements médicaux. Mon mari m’a acheté un dispositif de thérapie physique et un kneepad. Avec l’aide du monde, ma maladie est contr?lée maintenant. 

En 2002, le directeur de l’office administratif du quartier m’a proposé de participer à une campagne électorale pour devenir le directeur d'hygiène du quartier. Comme les résidents du quartier ont été émus de mon esprit laborieux et diligent, j’ai gagné l’élection et été nommée le directeur du quartier Songjialu du district Kuancheng de la ville Changchun en 2003. Depuis lors, j’intègre complètement dans la société et mène de nouveau une vie heureuse ! 

  

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