Je suis un volontaire pour les activités sociales du district Guanshanhu dans la ville Guiyang. J’ai connu une dame qui s’appelle BAO Chunling dans une activité pour prendre soins des personnes en situation difficile de notre district. Par la suite, j’ai su les expériences malheureuses de ZHENG Zhiming, le mari de Mme BAO. Je vais vous raconter ainsi cette histoire ci-dessous :
Un bon mariage et une famille heureuse
ZHENG Zhipeng, né en 1938, habite dans le district Fenggang de la ville Zunyi de la province de Guizhou. Quand il était jeune, il était vraiment beau. Il avait une taille de 181 centimètres. Son poids était de 80 kilogramme. Il était un élève professionnel dans les années 60. Puis, il est devenu fonctionnaire. Quant à BAO Chunling, elle était une gestionnaire dans une entreprise étatique. Elle est 3 ans moins grands que ZHENG Zhipeng. Elle avait un visage ovale et une taille mince. Sa peau était presque blanche. Elle était bien belle. Sous l’intermédiaire des autres, dès leur première rencontre, un coup de foudre les a saisis. Ils ont affirmé ainsi la relation amoureuse. Ils se sont mariés en 1962. Leur collègues et voisins disaient qu’ils étaient un beau couple, et que l’homme avait du talent et la femme était belle.
Après le mariage, ils avaient par la suite deux fils et trois filles. Ils menaient une vie toute heureuse. ZHENG Zhipeng avait un go?t pour l’art. Quand il s’occupait des enfants, ils riaient et chantaient. L’ambiance était vraiment bonne. Au fur et à mesure que le temps s’est passé, leurs enfants ont été grandis. Certains d’entre eux travaillaient ailleurs. Ils se sont aussi mariés. Puis, il n’y avait que ce couple qui vivait et s’occupait l’un de l’autre dans leur famille. Quand ZHENG Zhipeng était jeune, l’alcool lui faisait plaisir. A l’?ge d’environ 50 ans, il a su qu’il était atteint du diabète. Bien que malade, ZHENG Zhipeng insistait à prendre des médicaments. En même temps, il accordait de l’importance à la nourriture et faisait souvent des exercices. De ce fait, il était toujours en bonne forme.
Pratiquer le Gong sous la mauvaise influence des autres
Le beau-père de la deuxième fille de ZHENG Zhipeng, soit le père par mariage, s’appelait XU Shuwei. Il accordait beaucoup d’importance au maintien de la santé.Il était curieux de tout. Après sa retraite, il n’avait pas grand-chose à faire. Si l’on diffusait certains Gong dans la société, il les pratiquait. Par exemple, le Gong du Xiang, du Puti et du Zhong. Un jour en automne en 1996, XU Shuwei a visté ZHENG Zhipeng chez lui. Une fois entré, XU a dit : ? ZHENG, je pratique récemment un nouveau Gong. Ce Gong est vraiment efficace. Ta maladie de diabète pourra être guérie. ? Puis, il a montré des gestes du Gong. Quang ZHENG Zhipeng a entendu que ce GONG était bon pour sa santé, ce qui suscitait son intérêt, il a poussé XU à bien mettre lumière ce Gong. Puis, il a su que ce que XU voulait dire était le Falun Gong. Ensuite, il a vanté d’une manière exagérée à ZHENG. Il a dit que le Falun Gong permettait aux pratiquants de racheter et éliminer les péchés selon leur niveau du Gong. Il a dit encore qu’après une période de sa pratique, il se sentait beaucoup mieux. Les éléments nuisibles étaient excrétaient du corps. Il ne sentait plus de fatigue, quand il marchait. Il a fortement recommandé à ZHENG de pratique ce Gong. Enfin, ZHENG l’a accepté d’une fa?on joyeuse. Ainsi, le lendemain, XU Shuwei lui a donné un livre intitulé Zhuan Falun. Il a enseigné ZHENG à pratiquer les cinq suites du Falun Gong. Comme tel, sous la direction de ce beau-père de sa fille, ZHENG Zhipeng a commencé à pratiquer le Falun Gong.
Après trois mois de pratique, sous l’influence de ? pratiquer le Gong pour éliminer le péché ? de LI Hongzhi, ZHENG Zhipeng cachait secrètement et il ne les prenait plus. Il restait tout suel pour un temps dans sa chambre tous les jours. Il y pratiquait le Gong et lisait souvent Zhua Falun, les idées importantes pour perfectionner la pratique du Gong, etc. ZHENG se livrait de plus en plus à la pratique du Gong. Au début, il ne sortait qu’après qu’il était resté des heures dans sa chambre par jour. Puis, sauf qu’il mangeait et allait aux toilettes, il ne sortait plus de sa chambre. Sa femme, BAO Chunlin trouvait qu’il y avait quelque chose de bizarre dans son mari. Mais, elle n’a pas pu trouver ses mauvaises évolutions. Elle ne pouvait que laisser passer. Quant à ZHENG Zhiming, il croyait que sa santé devenait meilleure. Il se sentait énergique. Il marchait plus vite. La plus importante était qu’il n’a pas eu besoin de prendre les médicaments.
L’indifférence envers les parents et la mentalité contr?lée
Après plus de six mois de pratique, un jour, il a dit à sa femme : ? Ce Fa me permet non seulement d’éliminer les péchés ; mais aussi, il contribue à accomplir les bonnes actions et à accro?tre mon niveau du Gong. Puis, je pourrai avoir un ?il du ciel. Comme tel, je saurai la vérité de l’univers. Tu veux aussi apprendre le Falun Gong, n’est-ce pas ? BAO Chunlin a répondu : ? Tous les jours, tu ne fais que pratiquer le Gong. Si je le fais aussi et que je ne m’occupe de rien, on va manger quoi ? ? ZHENG Zhipeng était vraiment mécontent, quand il a su que sa femme n’avait pas volonté de pratiquer le Gong avec lui. En plus, BAO Chunlin a continué : ? Alors, tu le pratique tous les jours, pourquoi ta santé ne s’améliore pas ? ? ZHENG Zhipeng a répliqué : ? Je ne prends plus de médicament, mais ma santé est toujours assez bien. ? BAO Chunlin était étonnante de cette parole. Jusqu’à ce moment-là, elle a su que son mari n’a pas pris de médicaments depuis qu’il avait commencé à pratiquer le Gong. Elle a conseillé fort son mari de ne plus cesser de les prendre. Mais, il a dit que son femme était juste un être humain mondain et qui ne savait pas les avantages du Fa. Enfin, ils se trouvait dans un était de mésentente.
Depuis que BAO Chunlin a su que son mari ne prenait plus de médicament après qu’il avait commencé à pratiquer le Gong, elle se préoccupait davantage de lui. Elle a donné de nouveau le conseil, pour que son mari puisse reprendre les médicaments. Pourtant, ZHENG ne voulait pas l’écouter. Sa femme était dépourvue de moyen pour le persuader. Elle a téléphoné ainsi à son fils. Elle a parlé de ses préoccupations à son fils a?né. Quelques jours plus tard, le fils a?néest venu tout exprès chez son père. Quand il est entré, il a dit : ? Père, j’ai entendu ma mère dire que tu ne fais que pratiquer le Gong et tu ne prends pas de médicament. Tu ne peux pas faire comme ?a. Si le diabète se déclare, comment peux-tu y résister ? ?. Cette fois-là, BAO Chunlin n’a pas pu supporter son caractère opini?tre. Elle a trouvé les médicaments cachés par son mari et elle a dit : ? Mange-les maintenant ! Tu les prends, on est encore un couple. Sinon, tu pratiques encore le diable Gong, sors d’ici !? C’étaient juste des paroles en colère. Mais, quand ZHENG a entendu sa femme injurer le Gong comme diable, il s’est mis en rage. Il a donné une gifle forte à BAO Chunlin. Elle s’est presque figée. Elle a regardé ZHENG d’une fa?on étonnée en couvrant son visage.Depuis leur mariage, bien qu’il y ait des disputes entre eux, c’était la première fois que son mari l’a battu. Quand elle a retrouvé sa conscience, elle a pleuré fort. Son fils est vite allé auprès d’elle pour la consoler. Puis, il a donné des reproches à son père. Dans cette situation-là, ZHENG a fermé les yeux et il est allé directement dans sa chambre. Voyant un tel changement dans son mari, en colère, BAO Chunlin a téléphoné à XU Shuwei pour l’interroger. Mais ce qui était inattendu était que XU a reproché d’une manière bizarre à BAO d’empêché ZHENG de pratiquer le Gong. Il a dit qu’elle était diable.
Après cet incident, BAO Chunlin a fait rentrer son fils a?né et sa deuxième fille. Elle leur a raconté les histoires de leur père. Après tant de discussions, ils ont décidé d’envoyer son fils pour persuader le père. Ils promettaient de lui permettre de pratiquer le Gong, Mais, il devrait prendre les médicaments. Ainsi, son fils a fait des discussions avec son père pendant un jour plein, mais ils ne se sont pas mis d’accord. Parce que ZHENG ne voulait qu’obéir à son ? ma?tre ? au lieu de suivre les paroles de son fils. Il a trouvé Zhuan Falun d’une manière respectueuse et il a lu une grande phrase concernant l’élimination des péchés. En toute confiance, il dit à son fils : ? Dans notre grand Fa, il suffit d’accomplir les bonnes actions et d’accro?tre mon niveau du Gong pour que je puisse éliminer tous les péchés. Puis notre corps se transformera en une forme matérielle à l’énergie supérieure. On l’a nommé ‘le corps du cristal blanc’. Tu n’as jamais entendu ‘le corps du cristal blanc, n’est-ce pas ? En fait, cela est comme le corps bouddhiste. Est-ce que le bouddhiste va tomber malade ? Tu informes ta mère et ta s?ur de ne plus me déranger, quand je pratique le Gong. Arès que j’aurais aboutir à ‘la perfection’, tout ma famille va bénéficier de la bénédiction éternelle issue de mes efforts comme tel. ? Son fils savait qu’il ne pouvait rien faire en voyant l’ivresse de son père. Il a parcouru Zhuan Falun pour un temps assez long, il a dit enfin : ? Père, comme il y a des problèmes dans ce livre ! Tu es un vieux intellectuel, comment peux-tu croire cette chose superstitieuse ? Il ne faut plus pratiquer ce Gong. ? ZHENG était immédiatement irrité par cette parole. Il s’est arraché du livre à la main de son fils. Il a reproché d’un ton sévère : ? Alors, tu ne comprends pas le grand Fa. Tu ne dois pas dire n’importe quoi. Le grand Fa est une science surnaturelle. C’est la vérité pour comprendre l’univers. Si tu veux m’empêcher de pratiquer le Gong, tue-moi alors ! ? Ainsi, les discussions étaient terminées comme tel. Dès lors, ZHENG neprêtait plus d’attention à ses parents. Il restait toutjours dans sa chambre pour pratiquer le Gong et la méditation. Ou bien, il est sorti avec XU Shuwei dans le lieu où ils pratiquaient le Gong pour faire des échanges avec d’autres pratiquants.
Le refus des médicaments et la mort enfin
Puis, ZHENG pratiquant le Gong d’un temps de plus en plus long. Il rencontrait avec les membres de sa famille de moins en moins. Mais BAO Chunlin a encore trouvé que son mari s’est réveillé dans la nuit et il s’est assis sur le sofa, après la pratique. BAO Chunlin l’a interrogé mainte fois pour savoir ce qui s’était passé. Mais ZHENG n’a rien dit. Un peu plus tard, il a recommencé à faire la méditation. Ainsi, BAO Chunlin n’a plus voulu s’occuper de lui. Plus tard, BAO Chunlin a trouvé que les jambes de ZHENG étaient gravement bouffies. Cela lui a rendu difficile pour la méditation. Il était vraiment pénible. Sa femme lui a conseillé d’aller à l’h?pital. Mais il a dit : ? C’est un bon signe. Ma santé va vers le mieux. C’est une épreuve de mon ‘ma?tre’. Il me suffit de continuer à pratiquer le Gong, les péchés vont tous être éliminés. ? Sa femme n’a pas pu le persuader. Elle a fait venir son fils et sa fille. Mais cela n’a pas fonctionné. Puis, son fils a fait venir des camarades. Ils ont forcé ZHENG à consulter le médecin. A l’h?pital, ZHENG hurlait et criait. Les médecins n’ont pas pu lui donner des examens. Pas d’autre choix, ils ont fait retourner ZHENG chez lui. Une fois rentré, il continuait à pratiquer le Gong de jour en nuit comme d’habitude. Mais il ne pouvait plus bien faire la méditation, pendant laquelle il oscillait. Sur son front, les sueurs se sont presque coulées. Il ne pouvait pas bien respirer. Quand BAO Chunlin donnait les médicaments à son mari, il hochait toujours sa tête pour refuser.
Fin ao?t 1997, BAO Chunlin était dormie à minuit. Soudain, elle a entendu un son de plouf. Puis, un éclatement de la tasse s’est succédé. Elle s’est dépêchée vers la salle d’étude. ZHENG est tombé par terre. Il était déjà dans le coma. BAO Chunlin a rapidement recherché les voisins pour l’aider. Ils lui ont envoyé le plus vite possible à l’h?pital de Zunyi pour sauver sa vie. Après les examens complets effectués par les médecins, on a su que le diabète de ZHENG était dans le dernier stade. On a vu appara?tre l’insuffisance rénale accompagnée avec urémie et cataracte. Même on a introduit biens des sondes dans son corps pour maintenir sa vie. Gardant le lit à l’h?pital, il a dit encore sans cesse : ? Je ne veux pas traiter les maladies à l’h?pital. Nos pratiquants n’étaient jamais atteints de maladies. Vous m’envoyez vite chez moi. Je ne veux pas tarder ma pratique. Un peu plus tard de ses paroles, il s’est mis de nouveau dans le coma. Quand il s’est réveillé, il a dit à un ton faible : ? Envoyez-moi dans ma chambre ! Je veux pratiquer le Gong. ? Dans cette situation-là, BAO Chunlin pleurait tristement.
En avril 1998, ZHENG a pris son décès à l’h?pital. Il a quitté pour toujours le monde avec ses confusions et espoirs pour son ? ma?tre ? LI Hongzhi… Quant à BAO Chunlin, elle était tellement triste qu’elle est tombée gravement malade. Effrayés, ses enfants n’ont pas osé sortir. Ils se sont occupés de leur mère tous les jours dans la chambre de malade. Gr?ce aux consolations de ses enfants, elle allait enfin vers le mieux. Même ses enfants ont montré bien leur pitié familiale, ils ne pouvaient pas toujours l’accompagner. Ainsi, dans la plupart des temps, BAO Chunlin vivait dans une solitude. Puis, acceptant les conseils de sa fille cadette, BAO habitait avec elle à Guiyang. Graduellement, elle est sortie de cet incident lugubre… Maintenant, Mme BAO a 75 ans. Quand on mentionne ZHENG, elle accuse violemment le Falun Gong : ? Si je rencontre LI Hongzhi, je vais l’accuser et questionner ce qui s’est passé. Ce diable tricheur a tué mon mari. Maintenant, il s’enfuit aux Etats-Unis. Je pense qu’il va s?rement recevoir une vengeance désastreuse ! ? Voyant Mme BAO aux cheveux argents, Je ne sais rien à dire pour la consoler. Mais je pense : si M. ZhENG est encore vivant, quand il sait que l’Etat a interdit le Falun Gong, un culte pervers, comme intellectuel sage, il va certainement corriger ses fautes et rentrer dans la vie normale.
(Rédacteur en charge : Qingzhu)